ALEJANDRO FERNÁNDEZ
C'est au petit matin que Jan comprit que ce jour-là ne serait pas un jour ordinaire. Précisement quand il ouvrit la porte de son appartement pour se glisser sur le palier. D'habitude, Jan se trouvait face au voisin qui sortait également de chez-lui. Après un mutuel signe de tête, furtif, presque fuyant, ils se retrouvaient dos-à-dos, chacun passant sa carte sur la serrure pour fermer son appartement. Ils descendaient ensuite l'escalier, l'un derrière l'autre, Jan en tête parce que le plus jeune, et il sentait le regard du voisin peser sur sa nuque et ses épaules.
/sɛtopətimatɛ̃kəʒɑ̃kɔ̃pʀikəsəʒuʀlanəseʀɛpazɑ̃ʒuʀordinɛʀ/pʀesismɑ̃kɑ̃tiluvʀilapɔʀtədəsɔ̃apaʀtəmɑ̃puʀsɘglisesyʀləpalie//dabitydə/ʒɑ̃sətʀuvɛfasowvazɛ̃kisɔʀtɛegalmɑ̃dəʃɛlɥi//apʀɛzœ̃mytyeləsiɲdətɛt/fyʀtif/pʀɛskəfɥijɑ̃/ilsəʀɛtruvɛdozado/ʃakœ̃pazɑ̃sakaʀtɘsyʀlasɛʀyʀpyʀfɛʀmesɔ̃apartəmɑ̃//illdɛsɑ̃deɑ̃sɥitəlɛskaljielœ̃dɛriɛrlotr/ʒɑ̃œ̃tɛtpaʀskələplyʒœnə/etilsɑ̃tɛləregardywvazɛ̃pɛsesyʀsanykesesepolɘ/